- La fragilité du secteur agricole mondial a contribué à la
faiblesse des résultats
- Les divisions construction et foresterie et celle des services
financiers ont généré les plus importants profits
- La gestion des coûts et des actifs a progressé
MOLINE, Illinois, le
23 février 2015 /PRNewswire/ -- Le bénéfice net imputable à
Deere & Company (NYSE : DE) s'est établi à 386,8 millions
$, soit 1,12 $ par action, pour le premier trimestre qui s'est
terminé le 31 janvier, alors qu'il se chiffrait à 681,1
millions $, ou 1,81 $ par action, à la même période l'an
dernier.
Les ventes et les revenus nets à l'échelle mondiale ont diminué
de 17 pour cent, pour atteindre 6,383 milliards $, en
comparaison à 7,654 milliards $ l'année dernière. Les ventes
nettes des activités liées aux équipements ont permis d'encaisser
5,605 milliards $ pour le trimestre comparativement à
6,949 milliards $ il y a un an.
« La performance de Deere au premier trimestre est le
reflet de la conjoncture difficile du secteur agricole en général,
laquelle a causé une réduction de la demande de machinerie
agricole, notamment les gros modèles, ce qui a causé une baisse des
ventes et des revenus », a affirmé Samuel R. Allen, président du conseil
d'administration et président-directeur général.
« Parallèlement, nos divisions construction et foresterie et
celle des services financiers font état de profits plus élevés,
illustrant les avantages de posséder une gamme de produits
professionnels bien équilibrée. Nos résultats sont aussi le reflet
du progrès que nous avons réalisé dans la création d'une structure
de coûts plus flexible et plus souple. »
Résumé des activités
Les ventes nettes des activités mondiales liées aux équipements ont
chuté de 19 pour cent ce trimestre. Ces ventes incluent une
réalisation des prix de 1 pour cent ainsi qu'un effet
défavorable de la conversion des devises de 2 pour cent. Les
ventes nettes d'équipements aux États-Unis et au Canada ont diminué de 14 pour cent. À
l'extérieur de ces deux pays, les ventes nettes ont régressé de 28
pour cent, et un effet défavorable de la conversion des devises a
causé un recul de 5 pour cent.
Les activités liées aux équipements de Deere ont généré un
bénéfice d'exploitation de 414 millions $ pour le trimestre,
comparativement à 891 millions $ l'année dernière. Le recul affiché
lors du trimestre est principalement attribuable à la diminution du
volume des livraisons et à un portefeuille de produits
désavantageux, partiellement contrebalancé par une diminution des
ventes et des prix de vente ainsi que la réduction des dépenses
administratives et générales. Le bénéfice net des activités liées
aux équipements de la société s'est élevé à 241 millions $ pour le
trimestre, en comparaison à 543 millions $ en 2014.
Les services financiers ont annoncé un bénéfice net attribuable
à Deere & Company de 156,8 millions $ pour le trimestre,
comparativement à 142,2 millions $ l'année dernière. Cette
amélioration est principalement attribuable à la croissance au sein
du portefeuille de crédit et à une augmentation des marges de
profit lié aux assurances, qui a été en partie contrebalancée par
des écarts de financement moins favorables. L'année dernière, les
résultats avaient profité d'un taux d'imposition effectif plus
avantageux.
Perspectives de la société et résumé
Les ventes d'équipements de la société devraient diminuer d'environ
17 pour cent pour l'exercice financier 2015 et chuter de près
de 19 pour cent durant le second trimestre par rapport aux mêmes
périodes lors de l'exercice précédent. Un effet négatif de
conversion de devises d'environ 3 pour cent pour l'année
entière et de 4 pour cent au deuxième trimestre a été pris en
compte dans ces prévisions. Pour l'exercice financier 2015, le
revenu net imputable à Deere & Company devrait s'élever à
environ 1,8 milliard $.
« Même si le secteur agricole continue de subir des reculs
importants, John Deere s'attend à demeurer grandement profitable en
2015 », a soutenu Allen. « Nos prévisions reflètent des
résultats supérieurs à ce que nous avons connu lors des
ralentissements précédents. Elles illustrent notre réussite dans la
diversification de nos sources de revenus et dans l'établissement
d'un modèle d'affaires plus durable. »
À long terme, l'avenir de la société demeure très prometteur
pour la clientèle et les investisseurs, selon Allen. « La
croissance démographique mondiale et la hausse du niveau de vie
sont de puissantes tendances qui sont largement épargnées par les
fluctuations périodiques du secteur agricole. Au même moment, les
plans de Deere visant à développer de nouveaux marchés et de
nouvelles clientèles vont de l'avant. Pour toutes ces raisons, nous
sommes persuadés que notre société obtiendra de solides rendements
au cours de son cycle d'affaires et qu'elle tirera profit des
besoins futurs de la communauté internationale en matière
d'équipements de production. »
Rendement de la division Équipements
Équipement agricole et gazons. Les ventes ont reculé de 27
pour cent durant le trimestre, principalement en raison de la
diminution des volumes de livraison, des ventes annoncées
antérieurement des divisions Landscapes et Water de John Deere, et
des effets défavorables de la conversion des devises. Ces facteurs
ont été en partie contrebalancés par les prix de vente.
Le bénéfice d'exploitation pour le trimestre s'est chiffré à 268
millions $ comparativement à 797 millions $ l'année dernière. Ces
résultats plus faibles sont principalement attribuables à la
réduction du volume des livraisons et à un portefeuille de vente
moins favorable, partiellement contrebalancés par une diminution
des ventes et des prix de vente ainsi qu'une réduction des dépenses
administratives et générales.
Construction et foresterie. Les ventes de la division
construction et foresterie ont augmenté de 13 pour cent pour le
trimestre en raison surtout de la hausse des volumes de livraison.
Le bénéfice d'exploitation a atteint 146 millions $ pour le
trimestre en comparaison à 94 millions $ en 2014. Cette
amélioration est attribuable à une hausse des volumes de livraison,
partiellement contrebalancés par une hausse des coûts
ventes-mesures incitatives et par les effets défavorables de la
conversion de devises étrangères.
Perspectives et conjoncture du marché
Équipement agricole et gazons. Les ventes mondiales de
l'équipement agricole et gazons de Deere devraient chuter d'environ
23 pour cent pour l'exercice financier 2015, qui inclut un
effet négatif de conversion de devises d'environ 4 pour cent.
Le prix plus bas des matières premières et la chute des revenus
agricoles mettent de la pression sur la demande de machinerie
agricole, notamment pour les gros modèles. Les conditions sont plus
positives pour le secteur de la production de bétail aux
États-Unis, lequel a soutenu les ventes d'équipement de plus petite
taille. En tenant compte de tous ces facteurs, les ventes de
l'industrie de l'équipement agricole aux États-Unis et au
Canada devraient diminuer
d'environ 25 à 30 pour cent en 2015.
Les ventes annuelles de l'ensemble du secteur pour 2015 dans les
28 pays membres de l'Union européenne devraient diminuer d'environ
10 pour cent en raison de la faiblesse du prix des cultures
commerciales et des revenus agricoles, et de la pression mise sur
le secteur laitier. En Amérique du Sud, les ventes de l'industrie
des tracteurs devraient, selon les projections, diminuer de 10 à 15
pour cent en raison principalement de l'incertitude économique qui
affecte le Brésil. Les ventes industrielles dans la Communauté des
États indépendants devraient diminuer de façon marquée en raison
des pressions économiques et du resserrement des conditions du
crédit dans la région. Les ventes en Asie devraient diminuer
légèrement et la majorité du déclin devrait se produire en Chine et
en Inde.
Les ventes de l'industrie d'équipements d'entretien des gazons
et des utilitaires aux États-Unis et au Canada devraient plafonner ou subir une légère
hausse de 5 pour cent pour 2015 grâce à la croissance économique
générale.
Construction et foresterie. Les ventes mondiales
d'équipement de construction et de foresterie de Deere devraient
subir une hausse d'environ 5 pour cent pour l'exercice 2015.
Ces gains sont le reflet de la croissance économique et de la
hausse des mises en chantier aux États-Unis, lesquels ont été
contrebalancés en partie par une détérioration des conditions du
secteur de l'énergie et des régions produisant de l'énergie. On
s'attend à ce que les ventes mondiales de la division foresterie
demeurent aux mêmes niveaux satisfaisants de 2014, puisque les
gains aux États-Unis et en Europe
sont contrebalancés par des déclins ailleurs.
Services financiers. Pour l'exercice 2015, le
bénéfice net imputable aux activités des services financiers de
Deere & Company devrait s'élever à environ 630 millions $. Ces
prévisions traduisent l'impact attendu de l'entente annoncée
précédemment visant à vendre les activités liées à
l'assurance-récolte, et à la croissance du portefeuille moyen de
crédit. Ces facteurs devraient être partiellement contrebalancés
par des écarts de financement moins favorables, une augmentation
prévue des provisions pour pertes sur créance par rapport au faible
niveau de 2014, et un taux
d'imposition moins avantageux.
John Deere Capital Corporation
Les renseignements suivants sont communiqués au nom de la filiale
des services financiers de la société, John Deere Capital
Corporation (JDCC), conformément aux obligations d'information
applicables à l'émission périodique de ses titres de créance sur le
marché public.
Le bénéfice net imputable à John Deere Capital Corporation
s'élevait à 133,6 millions $ pour le premier trimestre,
comparativement à 136,5 millions $ l'an dernier. Les résultats plus
faibles de ce trimestre sont dus principalement à un taux
d'imposition effectif et à des écarts de financement moins
favorables, partiellement contrebalancés par une croissance au sein
du portefeuille de crédit.
Les créances et les locations nettes financées par JDCC se
chiffraient à 31,508 milliards $ en date du 31 janvier 2015,
comparativement à 30,019 milliards $ en date du 31 janvier
2014.
Déclaration concernant la règle refuge
La déclaration de la règle refuge en vertu de la loi Private
Securities Litigation Reform Act de 1995 : Les
déclarations contenues dans les sections « Perspectives de la
société et résumé », « Perspectives et conjoncture du
marché », et d'autres déclarations du présent communiqué qui
font référence à des événements, attentes, tendances ou périodes
d'exploitation futurs sont assujetties à des facteurs susceptibles
de changer, ainsi qu'à d'importants risques et incertitudes
susceptibles d'entraîner des écarts considérables entre les
prévisions et les résultats réels. Certains de ces risques et
incertitudes peuvent avoir une incidence sur des secteurs
d'activité bien précis, tandis que d'autres peuvent avoir une
incidence sur l'ensemble des activités de la société.
Les activités liées à l'équipement agricole de la société sont
assujetties à un certain nombre d'incertitudes, y compris de
nombreux facteurs interdépendants qui risquent d'avoir une
incidence sur la confiance des exploitants agricoles. Ces facteurs
comprennent la demande à l'égard des produits agricoles, les stocks
mondiaux de grains, les conditions météorologiques (y compris son
incidence sur la plantation et la récolte en temps opportun), les
conditions des sols (notamment un manque d'humidité souterraine),
le rendement des récoltes, les prix des marchandises et du bétail,
les dépenses liées aux récoltes et à la production de bétail, la
disponibilité du transport des récoltes, l'accroissement de
l'utilisation de produits non comestibles pour certaines récoltes
(y compris la production d'éthanol et de biodiésel), les valeurs
des biens immobiliers, la surface disponible pour l'agriculture,
les politiques gouvernementales en matière de propriété foncière,
les modifications dans les programmes et politiques agricoles des
gouvernements (notamment en Argentine, au Brésil, en Chine, dans
l'Union européenne, en Inde, en Russie et aux États-Unis), les
réactions à ces programmes à l'échelle internationale, les
changements dans les programmes d'assurance du bétail et leurs
effets, les accords commerciaux internationaux, les maladies
animales et leurs effets sur les prix et la consommation de
volaille, de bœuf et de porc, les parasites agricoles et les
maladies, et le volume des exportations de produits agricoles (y
compris les préoccupations à l'égard des organismes génétiquement
modifiés).
Parmi les facteurs pouvant influer sur les perspectives de la
division des équipements utilitaires et gazons, mentionnons la
confiance des consommateurs, les conditions météorologiques, la
rentabilité des clients, les habitudes d'emprunt des consommateurs
et leurs préférences d'achat, les mises en chantier,
l'investissement dans l'infrastructure, les dépenses des
municipalités et des terrains de golf ainsi que les coûts des
intrants consommables.
Les comportements des consommateurs concernant leurs dépenses,
les prix de l'immobilier et du logement, le nombre de mises en
chantier et les taux d'intérêt sont particulièrement importants
pour les ventes d'équipement de construction et forestier de la
société. En outre, la construction d'édifices non résidentiels et
publics a une incidence sur les résultats de la division de
l'équipement de construction et de foresterie. Par ailleurs, les
prix de la pâte, du bois d'œuvre et des panneaux de charpente sont
importants pour les ventes d'équipement forestier.
L'ensemble des activités de la société et ses résultats déclarés
sont touchés par la conjoncture économique générale au sein des
industries et des marchés mondiaux dans lesquels la société exerce
ses activités, particulièrement en raison des changements
importants dans l'activité économique de ces industries et marchés;
de la confiance des consommateurs à l'égard de la conjoncture
économique générale; des taux de change des devises étrangères et
leur volatilité, particulièrement les fluctuations de la valeur du
dollar américain; les taux d'intérêt; ainsi que les taux
d'inflation et de déflation. L'incertitude au sujet des dépenses et
de l'imposition actuelles du gouvernement pourrait avoir une
incidence négative sur l'économie, les emplois, les habitudes de
dépense des consommateurs et des entreprises ainsi que les
résultats de la société.
Les activités et les résultats des clients et de la société
pourraient être influencés par des changements dans les conditions
climatiques (y compris les effets de la sécheresse et des
conditions plus sèches que la normale sur certains marchés); la
stabilité politique et sociale des marchés mondiaux dans lesquels
la société exerce ses activités; les effets du terrorisme et des
menaces contre la sécurité ou les réactions qu'ils engendrent; les
guerres et autres conflits internationaux, et les risques de
ceux-ci ou les réactions qu'ils engendrent; les désastres naturels;
et la propagation d'épidémies majeures.
D'importants changements dans l'état de la liquidité du marché
et le non-respect des obligations financières associées aux accords
de crédit pourraient avoir une incidence sur l'accès au financement
et sur les coûts de financement associés, ce qui pourrait réduire
les bénéfices et les flux de trésorerie de la société. Les
conditions du marché financier pourraient aussi avoir une incidence
négative sur l'accès des clients au capital leur permettant
d'acheter les produits de la société de même que sur la confiance
des consommateurs et leurs décisions d'achat; les habitudes
d'emprunt et de remboursement; ainsi que le nombre et l'ampleur des
défauts de paiement ou des refus de remboursement de la part du
client. Une crise d'endettement, en Europe ou ailleurs, pourrait avoir une
incidence négative sur les devises, les marchés financiers
mondiaux, la stabilité sociale et politique, les sources et les
coûts de financement, les valeurs des actifs et des obligations,
les clients et les fournisseurs ainsi que les activités et les
résultats de l'entreprise. Une crise de la dette des États pourrait
aussi influer négativement sur les clients, les fournisseurs, la
demande d'équipement, ainsi que sur les opérations et les résultats
de l'entreprise. Les activités de gestion des investissements de la
société pourraient être entravées par des changements au sein des
marchés des actions et des obligations, et d'autres marchés
financiers, ce qui aurait une incidence négative sur les
bénéfices.
Parmi les autres facteurs qui pourraient affecter de manière
considérable les activités, l'accès au capital, les dépenses et les
résultats de la société figurent les changements au niveau des
politiques commerciales, bancaires, monétaires et fiscales du
gouvernement, ainsi que leurs impacts, y compris la réforme de la
réglementation financière et ses effets sur l'industrie de la
finance des consommateurs, les instruments dérivés, les coûts de
financement et autres domaines, ainsi que les programmes,
politiques, sanctions et tarifs gouvernementaux dans des
juridictions particulières ou au profit de certains secteurs ou
industries (incluant les politiques protectionnistes, économiques,
punitives et d'expropriation ainsi que les restrictions dans le
commerce et la concession de licences qui pourraient perturber le
commerce international); les mesures prises par le Federal Reserve
Board des États-Unis et d'autres banques centrales; les mesures
prises par la Securities and Exchange Commission (SEC) des
États-Unis, la Commodity Futures Trading Commission des États-Unis
et d'autres organismes de réglementation financière; les mesures
prises par les organismes de réglementation en matière
d'environnement, de santé et de sécurité, y compris celles qui sont
liées aux émissions des moteurs, aux émissions de carbone et
d'autres gaz à effet de serre, au bruit et au risque de changement
climatique; les changements des règlements sur le travail; les
changements des normes comptables; les changements dans les taux
d'imposition, les devis et les règlements et les mesures prises par
la société à cet effet; le respect des lois américaines et
étrangères lors de l'expansion vers de nouveaux marchés; et les
mesures entreprises par d'autres organismes de réglementation
incluant les modifications dans les lois et les règlements qui
touchent les secteurs dans lesquels l'entreprise évolue. Les
sanctions commerciales, financières et les autres pénalités
imposées par les États-Unis, l'Union européenne, la Russie et
d'autres pays peuvent avoir des répercussions négatives sur les
actifs, les opérations, les ventes, les prévisions et les résultats
de la société. Les activités des clients et de la société ainsi que
les résultats pourraient être affectés par des modifications dans
les bandes de fréquences radioélectriques GPS ou de leurs
utilisations permises.
D'autres facteurs qui peuvent avoir une incidence importante sur
les résultats comprennent les innovations et les difficultés en ce
qui a trait à la production, à la conception et à la technologie, y
compris les prix et les contraintes liées à la capacité de
production et à l'approvisionnement; la disponibilité et les prix
des matériaux, des composantes et des biens entiers; les retards et
les perturbations dans la chaîne d'approvisionnement de la société
ou la perte de solvabilité des fournisseurs; l'incapacité des
fournisseurs de se conformer aux règlements, aux lois et aux
politiques de la société ayant trait à l'emploi, aux droits de la
personne, à la santé, à la sécurité, à l'environnement et à
d'autres pratiques d'entreprise conformes à la déontologie; les
événements qui peuvent entacher la réputation de la société ou de
la marque; de sérieuses enquêtes, allégations, poursuites ou toute
autre démarche judiciaire; la création de nouvelles usines ou de
nouveaux produits; le succès d'initiatives visant à lancer de
nouveaux produits et l'acceptation de ces nouveaux produits par la
clientèle; les changements dans les préférences des clients à
l'égard des produits et le portefeuille des ventes, que ce soit à
la suite de changements dans la conception des équipements pour se
conformer aux réglementations gouvernementales ou pour toute autre
raison; les écarts ou les limitations dans la capacité, la vitesse
et la couverture rurale à large bande nécessaires pour soutenir les
solutions technologiques; la volatilité, les prix et les niveaux
d'approvisionnement du pétrole et de l'énergie; la disponibilité et
le coût du transport de marchandises; les mesures prises par les
compétiteurs dans les différentes industries où l'entreprise entre
en concurrence, particulièrement les rabais sur les prix; les
pratiques des marchands surtout en ce qui a trait aux niveaux
d'inventaires sur le terrain de marchandises neuves et usagées; les
contrats et les relations de travail; les acquisitions et les
cessions d'entreprises; l'intégration de nouvelles activités; la
mise en œuvre de changements organisationnels; les difficultés
liées à la transformation et la mise en place des systèmes de
planification des ressources de l'entreprise qui perturbent les
activités, ont une incidence négative sur les relations
d'approvisionnement ou de distribution ou entraînent des coûts plus
élevés que prévu; les atteintes à la sécurité ou autres
perturbations de l'infrastructure informatique de la société; et
les changements dans les dividendes déclarés de l'entreprise, ainsi
que les émissions et les rachats d'actions ordinaires.
Les résultats de la société sont également influencés par les
modifications dans le niveau et le financement des prestations de
retraite des employés, les changements dans les valeurs marchandes
de l'actif d'investissement, le niveau des taux d'intérêt et
d'actualisation, ainsi que les taux de compensation, de retraite et
de mortalité qui influent sur les frais liés aux prestations de
retraite, ainsi que les changements importants des frais liés aux
soins de santé, y compris ceux qui pourraient découler de mesures
gouvernementales.
La liquidité et la rentabilité actuelle de John Deere Capital
Corporation et d'autres filiales de crédit dépendent en grande
partie de l'accès opportun au capital dans le but de répondre aux
exigences futures en termes de flux de trésorerie et d'opérations
de financement, ainsi que des frais associés à la participation à
des activités de financement diversifiées et au financement des
achats de produits de la société. Si les conditions économiques
générales se détériorent et que les marchés deviennent volatils, le
financement risquerait d'être indisponible ou insuffisant. De plus,
les niveaux de confiance des consommateurs sont susceptibles
d'entraîner des diminutions des demandes de crédit et des
augmentations des taux de défauts de paiement, ce qui pourrait
avoir une incidence considérable sur les imputations et les
provisions pour les pertes sur créances.
Les prévisions de la société sont fondées sur des hypothèses
liées aux facteurs décrits précédemment. Ces hypothèses reposent
parfois sur des estimations et des données préparées par des
organismes gouvernementaux. Ces prévisions et ces données font
l'objet de fréquentes mises à jour. La société ne s'engage d'aucune
façon à actualiser ni à réviser ses prévisions à la lumière de
nouveaux événements ou pour toute autre raison, sauf si la loi
l'exige. Pour obtenir de plus amples renseignements sur la société
et ses activités, incluant les facteurs susceptibles d'avoir une
incidence considérable sur ses résultats financiers, veuillez
consulter les autres documents déposés auprès de la SEC (y compris,
mais sans s'y limiter, les facteurs discutés à l'article 1A.
Facteurs de risque du plus récent rapport annuel de la société sur
le formulaire 10-K et du plus récent rapport trimestriel sur
le formulaire 10-Q).
Communiqué de presse
-- Premier trimestre 2015
(en millions de dollars)
Non audité
|
|
|
|
Trois mois se
terminant
31 janvier
|
|
|
|
2015
|
|
|
2014
|
|
|
%
Variation
|
|
|
Total net des ventes
et des revenus :
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Équipement agricole et
gazons
|
$
|
4 081
|
|
|
$
|
5 596
|
|
|
-27
|
|
|
Construction et
foresterie
|
1 524
|
|
|
1 353
|
|
|
+13
|
|
|
Ventes
nettes totales
|
5 605
|
|
|
6 949
|
|
|
-19
|
|
|
Services
financiers
|
648
|
|
|
587
|
|
|
+10
|
|
|
Autres revenus
|
130
|
|
|
118
|
|
|
+10
|
|
|
Total
net des ventes et des revenus
|
$
|
6 383
|
|
|
$
|
7 654
|
|
|
-17
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Bénéfice
d'exploitation : *
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Équipement agricole et
gazons
|
$
|
268
|
|
|
$
|
797
|
|
|
-66
|
|
|
Construction et
foresterie
|
146
|
|
|
94
|
|
|
+55
|
|
|
Services
financiers
|
233
|
|
|
182
|
|
|
+28
|
|
|
Bénéfice
total d'exploitation
|
647
|
|
|
1 073
|
|
|
-40
|
|
|
Éléments de
rapprochement **
|
(89)
|
|
|
(112)
|
|
|
-21
|
|
|
Impôts sur les
bénéfices
|
(171)
|
|
|
(280)
|
|
|
-39
|
|
|
Bénéfice
net imputable à Deere & Company
|
$
|
387
|
|
|
$
|
681
|
|
|
-43
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
Le bénéfice
d'exploitation est le revenu provenant des opérations continues
avant les charges du siège social, certaines charges d'intérêts
externes, certains gains et pertes de change, et les impôts sur les
bénéfices. Le bénéfice d'exploitation du segment des services
financiers comprend les effets des charges d'intérêts, et aussi des
gains et pertes de change.
|
|
|
**
|
Les éléments de
rapprochement sont principalement les charges du siège social,
certaines charges d'intérêts externes, certains gains et pertes de
change, et le bénéfice net attribuable à des participations sans
contrôle.
|
SOURCE Deere & Company